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| | PSY 4 : ENFANTS DE LA LUNE | |
| | Auteur | Message |
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Mage' Uscule Magistrat Lyrical (admin)
Nombre de messages : 1212 Age : 32 Localisation : Dans ma pense... (81) Date d'inscription : 08/10/2005
| Sujet: PSY 4 : ENFANTS DE LA LUNE Jeu 5 Jan - 22:44 | |
| VOILA :
Refrain :
J’ai bien reçu vos S.O.S Voilà l’espoir d’une dernière prouesse Voilà l’espoir d’une dernière jeunesse PsyKtra J’ai bien reçu ton SOS Voilà l’espoir d’une dernière prouesse Voilà l’espoir d’une dernière jeunesse PsyKtra Où sont les mecs des blocks c’est le retour de la psyKtra C’est chaud c’est chaud, c’est chaud c’est chaud Où sont les mecs des blocks c’est le retour de la psyKtra C’est chaud c’est chaud, c’est chaud c’est chaud
C’est toujours Alonz, Vinc, Sopra, Sya On parle du même malheur, de la même néguia Puisqu’on est jeune et con Puisqu’ils sont vieux et fou Puisque ça crève sous les ponts Laisse nous chanter à genoux Laisse nous chanter la tristesse Vu qu’ici l’homme partage plus sa misère que sa richesse Vu que l’homme est un loup pour l’homme On met les crocs en avant, notre album Un chien de casse sans laisse, si j’ai la dalle à l’aise Entend l’malaise D’un jeune perdu dans l’manège occidental Se sert de notre image pour leur campagne électorale Les gars est-ce qu’on les baise ? A l’aise Un, deux, depuis quand le rap est synonyme de gangstérisme, D’antisémitisme, de major qui font du proxénétisme Balaise pendant qu’on rêve d’un monde métisse Collègue rappel moi les règles de s’qui fait un homme Rappel moi les rêves qui faisait de nous des mômes Rappel toi que la vie est une mort lente Que block party n’était qu’une loupe pour percevoir l’étoile filante La souhailté ou la mala souhailté La maladie du P.L.A.N tu la souhaitée On prend notre second souffle à travers ce deuxième album Enfants de la lune dites vous que…
STONE :
Refrain
Stone Le monde est stone Le monde est stone Ils veulent nous anésthésier l'esprit Nous disent que le paradis est ici Le monde est stoooooone On avance technologique au lieu se soigner nos hémoragies
Alonzo :
C'est l'ironie du sort J'fini sur le sol du coq Economiquement pauvre La mafia mondiale m'escroque Y'a plus l'harmonie dans ma famille Tro de pub de cul tromatise les gamines Que dieu nous sauve Homme du monde Ya pas de gang sans armes, ni de corps sans âme, peu de mère sans larmes Y'a presque plus d'air Le temp moderne est lourd On se desidatre à l'eau de feu dans le gouffre On meurt un peu chaque jour Charles la misère n'est pas moins pénible au soleil Aux Comores combien rêvent de marseille à - 5 l'hiver Alors qui savent qu'ici on est ado masochiste Qu'on se perce et qu'on se dessine sur le corps Qu'on combat le fasciste Et que le fric c 'est le frere d'l'egoisme Les cotoyer c'est perdre des proportios irréalistes Combien de gens sont incopris donc se désiste Cette phobie existe C'est triste Ce qui arrive o mome papin Victimes d'etre voyant Contaminé avant de lire la consomne la voyelle Les années passent comme les mois, Les mois comme les semaines PASSENT comme les jours Parcequ'on echoue L'afrique saigne Qui tient les reines ?
Refrain
stone Le monde est stone Le monde est stone Ils veulent nous anéstésier l'esprit Nous disent que le paradis est ici stop Le monde est stoooooone On avance technologique au lieu se soigner nos hémoragies
Soprano :
J'suis né à cette epoque ou la dalle devrait etre un crime contre l'humanité Les mentalités sont en manque de phertilité Ou la paix et avorter depuis que la colombe crame sur la flamme de la statue de la liberté Ou la jeunesse est un drame Qui s'instruit d'une politique ridé Emission tv en pleine puberté La ou mes larmes trempent ses lettres venues du bled Car on prefere aller sur mars pour mettre de l'eau et de l'éléctricité La ou pour du shit tu vas au trou Pendant qu'au jardin d'enfant des flèches de cupidon sonttirées par DUTROU La ou des batards confondent berceau et tante La ou le sang du sol est beaucoup plus cher que celui d'un mome La ou on t'enferme pour tes idées Ou les vieux tiennent plus l'été Ou des meres ne connaissent tjs pas le bonheur d'allaiter Il y a tellement de gens qui souffrent Que te lever le bando que tas sous les yeux mais faut aussi que tu les ouvres Que t'es mal Comme j'ai mal Voir ces filles de 12 ans qu'on retouve dans les bois Moi j'ai mal Pour tout ces orphelins de guerre qui nous envient nos fêtes des meres Moi j'ai mal Pour toutes ces victimes d'épidémies de seisme et d'attentats Moi j'ai maaaaal Car nos enfants grandissent dans ce monde stone...
Refrain
Le monde est stone Le monde est stone Ils veulent nous anéstésier l'esprit Nous disent que le paradis est ici Le monde est stoooooone On avance technologique au lieu se soigner nos hémoragies
Vicenzo :
Ok Arretons le massacre Sachez que la bombe humaine A été inventée seulement pour se défendre Donc j'enmerde ceux qui l'exploitent A defaut nuir,de suivre,de subir Le mal des enfants Qui ont les membres en platre Le monde se dilate Et l'oxygène nous devore Mais on reste diplomate Face a ce monde stone qui nous devore Trop d'effort voyez Pour peu de réussite Car personne sussite L'entretien de l'espoir Qui font que nos peaux s'irritent C'est mort frère Quand les balles soulage nos voix Mort comme les mort qu'on porte le deuil lors des attentats C mort frere Car nos immame et prète Purge des sales peines Alors qu'ils doivent faire De nos lieu seins Des sales plaines Mortel Comme lacher du frique Pour une pétasse Mortel Comme le monde bosse Dans les ruines seulement Pour un pesos Favelas du monde La ou les piranas desos Les cris des S.O.S La crainte chargé a grosse d'ose Donc signe une petition dans la marge Car les grandes ligne sont fait pour les grands homme Au savoir large A savoir... Devant nos cimetières En vide Donc moi j'crache sur l'esclavage Qui n'a pas était abolie.
Refrain
stone Le monde est stone Le monde est stone Ils veulent nous anéstésier l'esprit Nous disent que le paradis est ici stop Le monde est stoooooone On avance technologique au lieu se soigner nos hémoragies
ICI :
Enfants de la lune, on vient d'là où y a trop d'brume.. Nos rêves se brisent ...là où la route est floue On grandi à contre coeur, là où on s'nourrit de rancune Bienvenue....là où l'espoir s'consume
J'viens d'là où les cafards ont des buildings Là où Otis pousse ma mère à faire du body building Là où les petits n'vont plus en classe, passent leur temps à rouler Et avance avec un joint de culasse La routine comme seul passe-temps Là où les flics te passent les menottes à chaque fois qu'tu tue l'temps Là où on s'sert la ceinture pour être bien sapé Là où on préfére être ze pequeno que buscapé Là où les ronaldihno s'blessent avant d'être pro Là où la colo s'appelle mandat de dépot Là où l'alcool sert à s'noyer Là où on croit que l'amour n'est qu'un mouvement de poignet Là où la guigne t'fais la bise en t'faisant les poches Là où pour s'enterrer nos dualités servent de pioches Chez nous le sourire est mal agrippé à nos lèvres Et nos virées en motos s'transforment en cortège funêbre
Sueurs froides, c'est parce que les gens ont changé qu'on s'parle plus Qu'on communique avec tant de choses sauf avec la bouche Le disque, la seule langue en quoi j'pourrais vous parler Sans vice, pin up, bien sûr sans pourparlé On est la couche, qui sépare la maigreur de l'obésité Car on est entre Zola, et on sait pas ce qu'on veut Etre un vaillant ici ou de l'autre côté Les titulaires de la bétise sont mis en doute
Refrain x2
Tu sais, ici les jeunes tombent en même temps que la nuit Si nos histoires t'ennuient, tant pis On fait que dire ce qu'on vit Tu crois savoir comment c'est dur ici Si tu savais vraiment ignorant ce qu'on vit L'amour nous course, sans prendre de caddie Si tu savais vraiment ignorant, le temps nous fuit
J'ai pourtant crié tout haut, ce que certains pensaient tout bas Tu sais, dure est la vision de voir comme un oiseau d'en bas Dur d'planer sans l'effet dl'herbe et l'shit Tout comme mes gars amateurs d'grosses caisses et de parties de chatte Malgrés mes défauts, j'reste celui qui défie les défauts de la vie J'te parle du système et de ceux qui l'ennuie J'te parle des maillons faibles qui haussent le ton Avance avec le temps comme ces feuilles mortes où se dirige le vent J'remercie le bon Dieu d'être encore vivant Malgrés des coups d'passé chers qui allaient me coûter la vie médisant J'suis de ceux, qui dérèglent le systeme H-24 Qui hachent les mots d'la politesse qui recrache et qui remplatre De cette génération décidemment non clean Fan de fight club chemise seulement quand les billets s'alignent Au fait j'souligne l'amertume que j'ai quand j'vois mes parents Car s'sont les seuls devant lesquels j'm'aligne Ecoute, j'vais pas m'confesser, car tu pourrais pas m'répondre Autour de moi t'es juste la seule fréquence qui peut capter mes ondes Veille sur mes gars, en attendant qu'je sorte Ces mêmes Ruff Riders pilote d'R6 et RS4 Car j'supporte plus...l'envers du décor Celle qui ressemble à ce bruit en fond qui m'stresse à cause du savon La vie un coup d'sabre, où on sent pas l'mal, on le subit Et moi devant ma fenêtre j'me tais et je t'apprécies
Refrain x2
Tu sais, ici les jeunes tombent en même temps que la nuit Si nos histoires t'ennuient, tant pis On fait que dire ce qu'on vit Tu crois savoir comment c'est dur ici Si tu savais vraiment ignorant ce qu'on vit (L'amour nous course, sans prendre de caddie Si tu savais vraiment ignorant, le temps nous fuit)
La plume écrit moi j'percute le temps après C'est un goût amer mes vers pas vrai c'est flou comme la brume La brune, lâche moi les burnes, j'l'ai à l'envers les tunes Améliore rien car je suis lésé Laissé à l'abandon par le courage Mais j'suis un homme il faut que je me relève sans baton, sans hameçon Sans penser qu'autrui à la rage Donc passons, les ilotages sont plus sujets premiers Donc pensons, au monde qu'on va laisser aux bambins "Tigo"; la chance veut pas lacher d'sourire Rien d'nous broute depuis l'époque de la petite souris Ici quand les dents tombent c'est que tu es conscient qui faut en avoir bon sous le lit Ma mère combat mes flammes avec ces larmes Mon fils avec l'urine car c'est le seul mec qui m'pisse dessus Car c'est le seul mec qui prend le dessus Le seul qui me calme bonsoir la jeunesse de France
J'ai la parole lourde et simple malheur dans la bouche, la triste réalité j'ai là ce qui te touches, la mélodie du drame, le chant d'l'époque d'la connerie humaine Ces blocs je cane
Comme nos mères qui ne font que mouiller leurs pommettes car la lettre, veux du bled "des blometre" Faut que j'collecte 8 millimètres qui me mènent à mon maitre Le seul à pouvoir soigner ce mal être qu'on se relèvent colègue Qu'on lèguent à nos fils la vision d'un homme honnête Qu'il n'est pas à le voir du haut d'une fenêtre Se mettre, à semer des roses, au lieu de chrysanthèmes Car sous les larmes, l'espoir est une flamme qui peut s'éteindre
Refrain x3
Tu sais, ici les jeunes tombent en même temps que la nuit Si nos histoires t'ennuient, tant pis On fait que dire ce qu'on vit Tu crois savoir comment c'est dur ici Si tu savais vraiment ignorant ce qu'on vit (L'amour nous course, sans prendre de caddie Si tu savais vraiment ignorant, le temps nous fuit)
EFFET DE STYLE, EFFET DE MODE : Alonzo :
Mi amor, mi amor Beinga, beinga Air, air, feu, feu Ze guino mo papin yeah Eh ! On s’est envoyé l’an 2054 papin yeah Le temps se couvre dehors Il pleut de la haine mec Ca tue pour l’or Dans l’erreur on y reste mec Les riverains des ruines à la gorge frère la banque route Tant nous laisse que des taxiphones et des hannout des snacks et des bouts d’routes Pour vendre le caramel Fourguer les lamelles Au étranger Qui t’balance et qui t’envoie en terre étrangère A lui nos pommette à freine pendant que ton fric est mangé Par l’associer et au quartier il fait sa folle il met les nerfs A mort. Tes mandats Lui serve à piner des putes au dallas C’était le feuilleton, le feu tue l’amour Deux jeunes on trouvé la mort Le temps se couvre dehors
Soprano :
Les jeunes concoctent des coquetel molotoff snif la coque Décolle en char terre et compte bien atterrir on concorde Des cor borts sur nos cavernes Dehors c’est la guerre Donc normal que j’transforme tes salles de concert en caserne Ici les boycottes, ils ne savent plus quoi faire Les jeunes se prennent pour Tony et confonde le monde Avec le cul de Michelle fieffer préfère risquer le ban cassable Que Marie Jeanne Réussit ne serrer qu’au cul d’Charlemagne Dans nos ghetto… Les jeunes veulent des culs et des cubes, les culs en foutant des coups de coude du coup Dans nos ghetto… Les jeunes croient voir la vie en rose mais on tous sur les yeux du P.Q
Refrain x2
Tu veux savoir les jeunes c’qu’ils veulent L’émeraude, l’effet de style, l’effet de mode Tu veux savoir en bas c’qu’ils vendent La drogue, l’effet de style, l’effet de mode
Vincenzo : C’est comme voir l’étincelle du phénix renaître de ses cendres La flamme qui veille en toi depuis l’temps qu’on veut nous descendre Que j’mène le même combat Le rôle d’une balle pendant la Guérilla Le point culminant d’mon poing reste mon troisième doigt Voilà j’croix qu’il est temps d’remettre les quilles en ordre Et faire du porte à porte un corps à corps pour l’désordre A bord d’la crise de nerf les gosses d’en bas n’attendent plus Qui est l’prochain à descendre c’est l’genre de phrase qui n’dérange plus C’est l’unité censure black on traque les fouines Entend les mauvaises herbes trop light qui embellisse nos ruines Nos vie un stand de tire, un riz d’poussière pour le fight Car plus y’a qu’vous et moins j’aurais d’mal à faire d’votre vie un strike…
Alonzo :
Psy 4 n’a jamais manié de cross Nos empreintes pour aller dans le block c’est notre poste De là on riposte La mauvaise posture qu’on coupe nos gaillosse Les illettrés de macintosh Qui travail au mortier, à la plonge on compte avec les doigts et le monde dans le manche Y’a pas de non chaland que des revanchards
Soprano :
En plein d’chalenge
Alonzo :
Ça mélange
Soprano :
Des mots et ange Selon les conséquences Dans ce cancer social et jute croit être la chimio de la délinquance Ca shoot devant une diligence Ou pour du shit faut des chèques, du chibre pour plaire aux chattes faut de l’élégance Car si tu veux savoir plus rien nous étonne l’envie de choquer l’monde Nous trotte chaque jour et chaque seconde Voilà c’que veulent les jeunes Au droit, au bonheur le changement d’humour avant qu’des têtes tombent
Refrain x2 | |
| | | Mage' Uscule Magistrat Lyrical (admin)
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| Sujet: Re: PSY 4 : ENFANTS DE LA LUNE Dim 8 Jan - 12:45 | |
| CIVIL :
J'mène une vie de civil tout comme toi tout comme lui, J'suis sortis du ventre et je finirai dans le cerceuil comme toi et lui, Tout comme Louis de Funès j'croque la vie à pleines dents, Avec la rage une telle finesse que je t'encule poliment, Sans faire semblant, pour toi je suis le reflet d'une étoile, Alors pour ceux qui se font courser par les mecs à l'insigne de l'etoile, Un simple civil tout comme les gars qui charbonnent, Qui sont là pour faire de gros sous pas comme ceux qui te balancent et qui te donnent, Si si dalle dalle, enlève moi cette vie de star celle qui pousse mes connaissances à mal parler de moi quand je dit au revoir, 3 ans déjà donc 3 ans plus tard toujours le même mec des blocs aussi simple que des gars du shoot star, Shit merde, influencé par trop de chattes, ces michtos et groupies qui abusent de l'homme finissent par une chute, Le plus important c'est l'atterissage, qui dit que le vrai succès et celui de l'amour des parents en héritage, Ma maine, pourquoi se prendre la tête, quand la voix est sincère autant que les larmes que versent pères et mères, Ma maine, pourquoi me priver des hasana de mes prières ? moi aussi j'charbonne pour faire des sous tant le succès est éphémère, Mon frère, malheureusement j'aurai toujours le compte gonflé de ragots et rumeurs comme les légendes de ton quartier, Ces légendes ont apprecié le mal dans le bien dedié aux brigante qui décompressent dans la baise ou le joint, Le même colonisateur toujours à son poste, mecs des clubs, du son du don't sleep à la west coast, Préviens tes civils que je traîne dans la même zone, ED, Lidl, plan d'Aou ou rue de St ?
Refrain : Je n'appartiens à aucun fan, à aucune femme, à aucune forme d'homme dans ce monde à aucune femme, Comme toi j'suis qu'un libre civil bouffe pas mon oxygène car la vie s'effrite si vite, Je n'appartiens à aucun fan, à aucune femme, à aucune forme d'homme dans ce monde à aucune femme, On peut passer de l'affiché à l'afficheur, ça part d'en bas un démarrage en côte vers le bonheur.
J'ai la rime beaucoup trop près de la falaise, c'est facheux j'ai l'vertige, des mecs que beaucoup croient balèzes, A 22 piges j'ai voulu connaître le vide merci à ceux qui m'ont servi de filtres contre la nicotine de la vie, Car je passe mon temps à mettre ma cendre sur une feuille en espèrant que le rap me serve de patch, La vie un match qu'on crois pouvoir commenter sur un fauteuil, Nous on est tous sur le terrain à courir derrière les aiguilles de la swatch, Voila pourquoi je rappe, pas pour celles qui fantasment sur ma voix dit leur de me lâcher la grappe, Car depuis que Sopra est sous l'halogène, pour Said le succès est un poumon qui s'approprie son oxygène, Pourtant, faut que j'assume c'est mon taf j'l'ai choisi j'ai toujours su que si ça marchait il y aurait des stars et des groupies, Mais j'm'habitue pas aux mains serrées avec des ortils ni aux regards posés sur le volume de mon K10, J'suis pas ton idôle ce poid est trop lourd pour mes épaules l'autographe ok mais ne t'accroches pas à mon auréole, Ma simplicité me fait souvent défaut en plus j'suis parano j'ai l'impression que ma vie passe aux infos, Elle s'tranforme de lèvre en lèvre la salive des putes lave mon linge sale surtout depuis que j'ai perdu mon love, Lève ces jumelles que tu pointes sur mon quotidien tu auras rien en plus c'est le même que le tien j'm'occupe des miens, voila où part mon fric car dans une chute les poches pleines de biftons vous coulent plus vite.
Eh Sopra, t'en bas les couilles profites de ta vie de civil Mais d'abord dit leur à tous que...
Refrain :
Je n'appartiens à aucun fan, à aucune femme, à aucune forme d'homme dans ce monde à aucune femme, Comme toi j'suis qu'un libre civil bouffe pas mon oxygène car la vie s'effrite si vite, Je n'appartiens à aucun fan, à aucune femme, à aucune forme d'homme dans ce monde à aucune femme, On peut passer de l'affiché a l'afficheur, ca part d'en bas un démarrage en côte vers le bonheur.
J'suis un civil sans bombers, sans brassard orange, J'roule pas en safrane 2,2L, pas de flash ball sur la hanche, J'suis pas un justicier, je suis pas rentré dans vos blocs armé c'est mon langage qu'effraye, Ma foi je suis comme toi un civil j'enfile pas le bleu, Répare ma clio en toc serre moi le poignet fait fumer le fameux, Depuis microbe j'ai la tchatche, rêve de piloter comme Coultard des countachs j'suis pas trop clash dans mes rédacs j'm'inspire souvent de moi, de la vie de binbin de la ?? au bleu de soldat, Ca c'est des locataires on résident la même Terre possède des mêmes terres, crache les mêmes glaires, j'me fie au regard des ces gens qui m'ont vu pleurer tout ce qui s'élève se rabaisse, eh des cas de figure c'est pas ce qui manque au quartier, Le rap c'est mon réseau, tu me dévisages à croire qu'tu veux qu'je marche à poil pero j'ai le boulot les petits cousins de la ligne 26 ne troquent pas notre style ils riment à leur compte ils règleront leur compte sur vinyl en attendant on rodent pour rien on est des civils se fond facile dans la masse habillés à la mode de notre ville, Il se peut qu'on se croisent qu'on dialoguent j'fréquente parfois les grand axes j'suis comme Renault ma notorieté m'empêche pas d'être relax même si dans les bains de foule certains ont trop de jus et lâchent prise l'idolatrie moi ça m'électrocute et m'occulte j'veut pas le connaître j'aime être dans le flou tout viser à la lunette mettre 6 coups, PAAA, C'est le tarif minimum comme me l'a si bien dit celui qui m'a signé merci ALON.
J'suis qu'un homme parmis tant d'autres, un homme parmis tant d'notres, PSY 4 c'est notre état civil
Refrain : Je n'appartiens à aucun fan, à aucune femme, à aucune forme d'homme dans ce monde à aucune femme, Comme toi j'suis qu'un libre civil bouffe pas mon oxygène car la vie s'effrite si vite, Je n'appartiens à aucun fan, à aucune femme, à aucune forme d'homme dans ce monde à aucune femme, On peut passer de l'affiché à l'afficheur, ça part d'en bas un démarrage en côte vers le bonheur
COMME UNE BOUTEILLE A LA MER :
Encore une prise de bec avec ma mère, J'fais le sourd, claque la porte, pour oublier j'ricane avec mes potes en tapissant un block. La visage plongé dans les étoiles, noyé dans ma gamberge, J'cherche une île, une berge, ou au moins un bout d'bois, J'me sens, comme une bouteille à la mer, j'vais où l'flot de la vie m'mène, loin de tout, même de ma mère. La vie m'a offert la solitude de Robinson, J'voudrais repeindre ma vie, mais je n'trouve pas le bon pinceau. Certains ont fait le grand saut, mariés, des enfants, nous sortent leurs discours de réussite, leur vie est mieux qu'avant, c'est ce qu'ils nous disent. J'vois d'la lassitude dans leur regard mais eux au moins ont essayé d'sortir de leur brancard, moi, j'ai l'impression d'avoir raté des tas de trains, pourtant je n'ai jamais quitté l'quai, la preuve les jeunes me squattent, ça craint.
Le temps a soufflé sur ma vingt-cinquième bougie, j'en suis même pas sur, j'suis toujours dans le même logis, dans la même logique; le piano des Feux de l'Amour pour m'réveiller, la petite soeur pour m'faire à grailler. Brailler, j'l'ai fait pour un rien. Pour m'calmer j'rappe, d'autres roulent, vois ??? Une femme, des fois j'me dis que c'est la pire arnaque d'la vie d'un homme, certains disent qu'une d'elle un jour viendra éclairer mon ombre. J'éspère le voir d'cet angle, pour l'instant les couteaux qu'j'ai sur mes omoplates ont des traces de rouge à ongle.
Mais bon la vie faut la vivre, donc j'la vis, fuis les vitres brisées d'mon existance, continue navigue, même dans l'vide J'vire à tribord, prends la fuite, à travers mes lignes te décris mes rides Me construit un mythe, oblige, J'sens qu'mon pouls ralentit faut qu'j'laisse une trace d'un mec honnête ou d'un gros bandit, rien à foutre, faut qu'j'prouve que j'ai été vivant, si tu penses que j'dois voir un psy, dis-toi qu'j'n'ai qu'le rap comme divan.
M'man la marrée est haute, et j'me laisse emporter par les vagues, elles sont trop fortes, j'voudrai t'dire que j't'aime mais j'ai trop le trac, marque mon front de ton sourire, s'il te plait oublie toutes les fois où j't'ai fait souffrir J'sais qu'l'effort est une force que j'maitrise peu et j'sais aussi qu'c'est le parapluie qu'il faut quand sur tes joues il pleut Mais dans ma tête j'entends des coups de flingue incessants, un braconnier a laissé des plumes de colombe, plein de sang.
J'voulais apprendre à donner, j'ai appris à tout manger apprendre à pardonner, j'ai appris à me venger, j'voulais apprendre à aimer, j'ai appris à haïr j'ne voulais pas ramer, j'l'ai fait, avec un gros navire j'ai voulu eviter la pluie, j'l'ai affrontée en t-shirt j'la voulais pour la vie, j'ne l'ai eue que pour un flirt, J'me sens, comme une bouteille à la mer, noyé dans les vagues de la mélancolie d'la vie Comme une bouteille à la mer, j'me sens... SOS Comme une bouteille à la mer, à la recherche d'une ville d'un navire qu'on puisse me repêcher et lire ce qu'il y a dans mon coeur, ce qu'il y a en moi Comme une bouteille à la mer, j'me sens...
EL BARRIO :
A.L.O.N sexe masculin Laisse mec j'suis l'orphelin Adopté par l'barrio Laisse mec j'en vexe plus d'un Mes platines, faut pas qu'j'patine J'donne mon meilleur Car demain c'est ... fighting Lâche moi en meeting J'rap mon best seller C'est la merde qui me berce mec Là ou j'm'exerce Plan d'Aou, on crie tous à l'aide On effrite le malheur sur la lèvre C'est l'callumet d'la paix que j'sors de mes lèvres
Ca vient toujours des mêmes blocks Influants des quartiers Nords Résidants Plan d'Aou Comme un gaou à Oran C'est l'même ... d'origine Commorienne Où on attend le dépos de langue Même quand le tabac gène Rien d'étrange vois-tu J'ai toujours les mêmes potes Ces mecs qui trainent en bas des blocks Ce peuple qui forme un melting-pot Faut qu'on s'unisse car on a l'même sang
Mon pote à la tienne
J'dis toujours Allah j'm'en bas les couilles Douilles pleins la bouche N'attends plus un coup d'pouce Rap mes coups d'blues Ce coup d'bouse que j'crache à la foule Si t'en as rien à foutre, bouges Avant qu'mon coup d'boule te couche Raboule l'flouz que j'bouffe
Sopra M'Baba Pour toi le succès a un coup d'foudre Mama crois moi J'aurai la coupe sans vendre la poudre Moi et mon groupe coute que coute On s'envolera à Bola Bola
Refrain :
Ca vient des Quartiers Nords de Mars Plan d'Aou La où tu crois qu'le taux d'réussite est out On te dit (Charles) Regarde notre terre ... en haut des (charts) D'où ça vient, vas-y cherche cherche cherche Des quartiers d'France Plan d'Aou Chargé de direction dans nos dires c'est out On te dit (Charles) La psy4 tra rap pas pour les (chattes) Vas-y cherche
Heiwa, heiwa, heiwa Heiwaaa, heiwaaaa J'ai du riz plein les dents, du raï plein les oreilles La quitare d'un gitan pour remplacer le coq au reveil Woulaï, j'ai les mains pleines de ciment Depuis qui s'mettent à rouler en BM T'as bien capté que je suis des HLM Pas de la haut, le Tiger Wood du rap Remplis des troupes Pour ceux qui bossent au Bled Pour ceux qui passent l'hiver à faire des abdos Ces caïds qui augmentent le chiffre d'affaire du Mac Do à l'Aïd
A tous les locataires d'la jungle Jusqu'à la colonie des collègues en ligne Aux évadés qui trouent au burin le mur de la cellule Mon papier d'routine je l'envois au cul Arrache la porte d'un huisser Ca m'servira de surf à Hawaï sûr Je fly, combien d'étés sont passés Trainés dans la favela En trotinettes, les charmants en Vespa La coupe à la Nesta Et BM là ça grille pas Ok à tous les acolytes et co-pilotes A ceux qui complotent et qui dépassent les limites Ou peu importe car le ghetto c'est pas qu'un ring de misères Faut voir mon pote Omar si t'as l'flair, le sens des affaires Quartiers Nords Où l'on devient adulte un peu trop tot Où on aime la tchatche italienne comme c'Bambo Plan d'Aou c'est ... Dédié aux mecs d'la Castellane Qui s'reconnaissent dans nos dires En gros qui ont l'produit qui plane
Refrain x2 | |
| | | Mage' Uscule Magistrat Lyrical (admin)
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| Sujet: Re: PSY 4 : ENFANTS DE LA LUNE Dim 8 Jan - 13:11 | |
| JUSTICIER :
Exploité par l'oligarchie, le peuple a peur Enchainé dans sa propre liberté, le peuple pleure Répression, opression, tolérance zéro, chao La police fait mal, la garde à vue persecute, la garde à vue tue Alors que veux-tu Notre pays va mal Dictature, république, sujet, bavure, statistique
Ils sont assailli, figé, endormi comme des petits volcans prêts à exploser Mais Dieu est grand alors dormez petits volcans Dormez, le jour approche, bientôt vous vous reveillerez
Quand j'pense à Omar Radad et Patrick Deals J'me dis que la justice est une balance qui trouve rarement son équilibre J't'ai dis maintenant cette politique a besoin d'lifting Ma liberté a les bleus de Rodney King Ici les p'tits voient bleu depuis qu'les matadors visent la tête Deviennent des bêtes depuis qu'on les empêche de sortir de l'enclos Tous sont en tête chez le trésor plublic Car une casquette sur l'crâne attire les roses ... Ici les civières sont des bancs publics Ils répondent à nos SOS avec des cars de CRS Faut qu'j't'explique J'm'en tappe moi d'ta plaque ... De soucis aux pieds, mon alcotest familial est peté Y'a aucune parano dans mes propos T'en as rien à foutre si j'ai un cadavre dans l'coffre Tu veux un peu d'popo T'as beau m'mettre les mains sur l'capot Faut qu'j'me venge Ici un brassard noir pour un brassard orange J'suis pas là pour faire d'la démago Beaucoup d'flics font bien leur taf Mais d'autres mettent nos blocs sous embargo Au lieu d'nous traquer pour des bouts d'shit Essais d'comprendre pourquoi notre haine crie : ich liebe dich schmit
Refrain :
Une perquiz de plus aux appartements du monde Voilà les justiciers les gars, on est sous écoute chaque seconde
Y'a les schmits
Y'a les schmits Pour ceux qui débarquent dans nos blocs Avec leurs plaques qui s'sentent forts Avis aux mecs des blocs, t'es bien dans l'15 Appelle les renforts
Poto y'a les schmits
Si peu de coups, si y'a les schmits
Te rends-tu compte qu'on peut pas avoir un dialogue Que l'insigne a pris l'dessus sur ta personne Que même les innocents te détestent Qu'on te souhaite la mort à chaque cage d'escalier Et qu'après la pensée y'a l'geste Ne prends pas ces paroles comme une vulgaire mode C'est sérieux Le rapport d'force n'a jamais calmé aucun nerveux Te rends-tu compte Hier encore vous avez tabassé un atardé Un contrôle de papier vous a changé en monstre C'est pas une morale Mieux qu'ce soit ton enfants qui t'la fasse Ton par-balle ne pourra rien contre ses phrases Quand il te dira qu'l'abus d'ton pouvoir va te perdre Que t'es pas un héros, et qu'il y a plus fou que toi dans l'barrio Hein tu veux quoi ? Qu'ça aille plus loin que des regards et des pierres Que vos cars deviennent des chars Qu'y a d'la chair ... Du sang pas chèr, tu veux qu'on néglige père et mère
Qu'on trace une putain d'ligne et qu'ça devienne ... Tu veux, tu veux, tu veux une pile à la place du coeur Qu'on t'prenne pour un ciborg qui fait sa ronde ... Sors pas ta plaque j'donne pas d'prénoms Allo la jungle ici Moogli Je sais qu'ça bouillonne, prêts à agir
Refrain
Oh bonsoir messieurs la, sur le côté s'il vous plait Sur le côté, sur le côté Oh ... coupe le contact Allez sors les papiers, sors les papiers dépèche toi On fait un p'ptit contrôle de papiers la Oh tu as les papiers du véhicule ? Bouge toi ! Oué merci Carte grise, assurance, passe moi l'assurance ... Vérifie bien l'assurance parc'que ils sont jamais en règles - ... Oh toi la ramène pas, la ramène pas, la ramène pas, reste tranquille Vous êtes du Plan d'Aou ? - Oué Qu'est c'que vous faites dans la vie les jeunes ? - Artistes Artistes, artistes c'est-à-dire ? Tu fais quoi, tu écris sur les murs ? Artistes peintres ? C'est quoi ? Ah musique, rap Du rap, ah, Plan d'Aou Plan d'Aou c'est les psy4 de la rime ça Bac Nord, tu aimes pas trop la Bac Nord non ? Psy4 de la rime les mecs pas trop d'accord avec la Bac Nord en gros Ah tu fais moins le malin là maintenant hein On va voir si tu fais toujours autant le malin vas-y
Hé Navarro bravo pour toi Ma place n'est qu'derrière les barreaux Tu es courtois que quand tu m'lis mes droits Si j'dois être fouillé envoi Julie Lescaut Elle au moins elle me fout le barreau Et ça m'aidera à tenir le poirreau Pourquoi les jeunes lèvent leur 3ème doigt ? C'est ptet qu'Marianne est en train d'mouiller La garro entre les doigts Dites aux gendarmes, qu'ils ont le coprs Mais surtout l'cerveau à Van Damme A vous d'voir C'est vous qui avez la loi au bout d'votre flingue Vu qu'vos bavures deviennent des procédures Nous, de vives voix, on représente tous ces gens bilingues Ces immigrés qui font face à vos procès Dur de n'pas rester en file indienne sur ces murs Cow-boy vu qu'tu tires plus vite que ton ombre Cow-boy, des supers héros y'en a qu'dans les BD Et dans vos poulalliers y'a que des ***
Refrain
AYIE MAMA :
Je voulais que tu saches que j’n'ai jamais voulus hausser la voix contre toi Jamais voulus te faire de la peine mais des fois j’suis maladroit Jcrois que j’t’aime trop c’est ça, Ca me rend fou qu’on s’entende pas j’ai du hériter de ta tête de mule c’est ça, t’avais raison, l’autre était une pute, elle a niqué ma vie et celle de mon quai mal elle était trop en rute, maintenant j’ai l’air con, toutes ces fois où on s’est déchirés pour elle, j’ai honte, j’monte tous doucement chaque palier de mon rétablissement, si tu savais c’que j’ai faillit faire tu m’ mettrais à la Soli pour faire couler son sang, mais dieu merci j’ai des potes, qui valent la prunelle de tes yeux, ils me remontent chaque fois que je me descends, j’avoue qu’ ça a pas arrangé, l’opinion que j’avais du mariage comorien ça a même empiré, Ne me demande plus de changer, Mais plaies se sont encore plus allé depuis que mon père s’est remarié, Tu sais, pour moi c’est dur de voir tous ces millions gaspillés Quand je sais q’au bled Coco n'a rien à manger, En plus t’es plongée dans des dettes, dans des tas de soucis, Tu maigris, t’accumules les crédits pour tous ces tas de conneries, Vous ne voyiez pas le mal que vous faites, Combien vous font plaisir et style dés que fini votre grande fête, Moi j’veux pas te faire ça, j ’t’aime trop pour ça, Mam laisse moi faire mes choix qu’ils soient bons ou pas, J’suis déjà assez mal comme ça, Ils disent tous me comprendre mais ils me connaissent pas, Mam on s’entends mais on s’écoute pas, Ca m’fait mal, car je sais que ça changeras pas,
Refrain :
Ayie Maman, T'as choisis la France pour nous sauver, Ta fuit la souffrance pour nous élever T'as fais des boulots qui t'on rabaissé pour voir tes enfants manger, Ayie Maman, Aujourd’hui j’embrasse tes pieds, Quand t'es déçue de moi j’ suis effrayé, J’ai peur que la mort vienne te chercher, J’ai peur qu’ tu partes pleines de regrets, Ayie….
J’suis né de ce peuple, comorien, L’aboutissement de deux êtres, Génération 80, J’vais avoir du mal à vivre mon quart de siècle, Drogué aux promesses trop p'tit, Plus grand, plus tard j’ai vu qu’les illusions faussait souvent nos esprits, Tu sais c’ qu’on dit, l’amour c’ est bon et fort au début mais il s’dégrade, Quand les familles font un mélange de trop d’abus, Mam, tu m’as fait naître ici ton cœur était la bas, Moi j’ai grandis ici, tu voudrais me voir vivre la bas, La bas où on mélange les coutumes et religions, Où on a peur d’accepter l’autre, Car c’est le contraire de nos traditions, Contradiction faite, dés lors, Où vos mariages roulent sur l’or, Et vous avez du mal à vivre avec vos dettes, Mam, s'te plait ouvre les yeux, Car le proverbe ne dit pas loin du cœur, près des yeux, J’finis par me dire, qu’on vit pour l’autre,on tue pour l’autre, Mais dit toi qu’on partira seul sans l’autre, Tant de choses que j’voudrais te dire, Tant de choses que j’ai faites, dont j’ai malheureusement peur de te les dire, Marre d’te voir verser des larmes, Car ça me fais autant de mal que ça ajoute trop de péchés à mon âme, Ton exemple d’amour de votre part prématuré, Trop de cousins et cousines dégoûtés d’ vous avoir écouté, Les nerfs car j’ veux pas subir la même chose qu’eux, Les nerfs quand celle que j’ veux t'as pas dénier l’avoir, Alors quand, tu m’ parles famille, ceux qui cherche le bonheur, L’intérêt qu’il y a dans tes actes, quand toi tu m’parles d’honneur, Français mais comorien j’ renie pas mes origines, Mais c ‘qui me gêne c’est qu’on s’entête alors que tu restes mon oxygène
Refrain x2
AU FRONT :
J'fous ton rap à la décharge Des hachoires pleins la machoire M'acharne sur la chair d'un chour Décharge ma rage du haut d'un char Si j't'ai chopé chehh Très chèr c'est de haut que les mecs te shootent Quand j'finis mon show
Donnez-moi du MC, donnez-moi ces p'tites tafioles J'arrive en santiags sur un V Max
Maitre de cérémonie Approche je m'appelle ... c'est pse c'est juste l'intro
Psy4 c'est l'élite, l'éléctrochoc qui milite L'album un doc de choc Gros son, le flow ... Gros son, le flow médite Gadji ou gadjo, resent le flow qui t'irrite Un son à t'arracher la peau
V'là un rap à haut risque Puisque les disques des autres artistes Vont avancer le biz avec les jambes de Christopher Reeves MC's voici des lyrics dangerous Comme Jackson featuring les Choristes oooh
Hé p'tit freestyler t'aimes bien le mouvement hein T'aimes bien raconter la vie des autres dans le mouvement hein T'es un délinquant Ou ... des fans qui aiment te voir bouger le bas-ventre mytho
Ici ça s'prend des gifles à tout va Au delà des limites, bienvenue la où Les adversaires finissent KO Voilà le navire des blocks On arrive chaud bouillant Voilà la race des sangs chauds
Refrain :
Tout l'monde au front, les bras bien hauts Marseillais faites oooh héhooo Du Nord au Sud, de l'Est à l'Ouest Tout le monde fait oooh héhooo
Ok comprends poto l'album une averse Auquel faudrait qu'tu adhères Et si y'a un gout amère poto N'hésites pas à l'dire Car c'est la rage que j'impreigne Celle de mes soeurs et de mes frères
Moi j'arrive à balloter ma rage J'te laisse au b.a-ba Mais trop de fumée pour ton équipe enfoiré
Vl'a la mêlée de rimes lachée par Baba Psy4 tra de la rimia C'est les rats, scélés à la rime A la vie pour tous ceux d'en bas Qu'ont pas la villa rêvée Crevés de mettre que de l'encre sur le toit d'un greffier Une pour Mino
24 H 24 ça boit des packs Ca flambe aux cartes Caramélisées jusqu'aux gencives Nique la BAC Pareil quand on demande Alonzo Dis-leur d'prendre la ligne 26 C'est un peu plus loins que la piste Plan d'Aou
J'ai l'accent de la camargue Comme mes camarades j'canarde ton art En attendant la camargue J'amare mon rap au bord des Comores J'te nargue, j'te lache des molards du haut d'mon goulag Nord C'coup là t'es mort non ?
Chouf ... mon comme on évite les obstacles De 1 car trop d'mecs veulent nous voir au cachot De 2 car Block Party s'est pris trop d'tacles Et de 3 Psy4 vient affronter les Kilimanjaro
Refrain
C'est pour ta vie, pour ma vie, pour les mecs d'en bas Pour les fous d'la rime, c'est de la Psy4 tra C'est pour les mecs de chez toi C'est pour les mecs de chez moi C'est pour les fous d'la rime, c'est de la Psy4 tra (x2) | |
| | | Mage' Uscule Magistrat Lyrical (admin)
Nombre de messages : 1212 Age : 32 Localisation : Dans ma pense... (81) Date d'inscription : 08/10/2005
| Sujet: Re: PSY 4 : ENFANTS DE LA LUNE Lun 9 Jan - 19:53 | |
| LA VIE M'A APPRIS :
J’ai maintenu les études histoires de m’accrocher dans la vie avec souvent une incertitude, une camisole qui me pétrifie. Vision de plaine et de dune, vêtu de coton et de laine, j’ai plus souvent appris à me forger durant le croissant de lune. Je vis au jour le jour, au taquet comme on l’a si bien dit, je suis de ceux prêt à faire tébet, faire crier jour et nuit. Après réflexion c’est le drame car je réalise que la vie n’est pas faite de malheurs, de gâteries, de conneries. Une larme à ceux qui n’ont pas eu le temps de réagir se faire avoir par la vie c’est comme prévoir son avenir. La flamme du cœur c’est comme une drogue douce, on dit que ça tue, que ça fait mal mais excitant comme voir son gosse sucer son pouce. La vie m’a appris la vie car vivre c’est comme se rendre qu’on ne vit pas éternellement, c’est comme la fin d’un livre. J’ai appris à être bon salam aux maîtres d’école oranique ceux qui t’apprennent que la vie n’est pas seulement en italique. Pourtant je suis qu’un pion parmi tant d’autres. On co urt derrière je ne sais quoi pour à la fin donner sa place à d’autres. Un pion qui a appris dans ce monde à se faire bouffé dans cette vie où faut apprendre à perdre pour après se relever.
Pauvre de nous on vit le siècle technologique y’a plus de réflexe naturel on s’inspire plus de la logique. Les guerres inspirent à l’évolution, la femme accouche sous X, elle sait plus c’est quoi un fils. La proie de la prison ou celle de l’anti-christ ou du futur soldat français qui mourra en Afrique. Mais où sommes-nous chez les civilisés ou chez les fous ? L’état te raquette, même pour enterrer ton père tu paye son trou. Tout qui se paye c’est ça ? Y’a rien qui se donne c’est ça ? La philosophie de la patrie c’est ça ? Allez vous faire foutre, je vais plus payer vos amendes quittes à être ou entendre recherché à désert land par le fisc et tous ces juges pourris. Sur mes épaules Kenza et Kély mi amor all déconent. Je sens que je déconne et je perd la forme, je pillave trop, je suis trop bouillant pour le régime Sarko c’est alarmant, notre passé nous rattrape à la nage, j’ai compris ça quand pour Thuram ils ont fait le cri de l’oran outan je vis pleinement mon ages, je vis mon temps, apprend des petits et d es grands, Arabe ou Bagdag Comores ou gitan, sénégalais ou Turquie des cambodgien des arméniens ça c’est Plan d’Aou city, c’est là d’où je viens. Viens nous comprendre Tu veux nos votes sans nous entendre mais tu sais quoi de nos vies ?
L’amour m’a appris la haine comme la mort nous apprend la vie avec de la peine voila pourquoi je peine à vivre, je traîne mon cercueil derrière chaque sourire que je te lâche puis la nuit je m’endors à l’intérieur pour mieux enterrer mes claches. Noyé dans l’oasis d’un mirage, voila pourquoi sur les plages de l’amertume t’entends mes rap dans tous les coquillages. Le pire c’est que je sais que je nourrirai triste, une cigogne a tapé à ma porte et y a laissé un panier vide. On m’a dit tu grandi t’oubli moi je dis plus tu prie tu grandi. La vie n’a pas la violence de Gandhi. Je sais que dans la douleur je ne suis qu’un apprenti mais à mon age je sens déjà que mon pouls ralenti. L’horloge tourne et mes promesses sont à la bourre je me paye des remord mais certaines erreurs ne font pas de ristournes. Comme Pearl Arbor j’ai cru ne jamais être attaqué, ça vient aussi de derrière depuis ma parano est aux argués. Va dire à celle à qui mon cœur n’a pas voulu s’ouvrir qu’il s’est tellement arrêté de battre qu’il a peur de revivre. Le bonheur des gens m’a rendu aigris. La vie m’a appris que même après la pluie chez moi les arcs en ciel sont gris.
Tu connais quoi de nos vies, de ce qu’elle nous a appris, de ce qui nous mets à l’abri ou en débris, tu connais quoi de nos vies, vu qu’on est richement pauvres. Les rescapés sont riches en preuves. (x2) | |
| | | Mage' Uscule Magistrat Lyrical (admin)
Nombre de messages : 1212 Age : 32 Localisation : Dans ma pense... (81) Date d'inscription : 08/10/2005
| Sujet: Re: PSY 4 : ENFANTS DE LA LUNE Lun 9 Jan - 20:03 | |
| A L'INSTINCT :
(Refrain)
C'est fait à l'instinct, sur l'instant, Sans calculer le destin, Le temps de vie est restreint (Nique sa mère !) Envoie le festin (Pwah) Ca c'est notre son (Pwah) Pour nos garçons (Pwah) Pour nos garçons (Pwah) Ca c'est notre son.
Tout à l'instinct, sur l'instant, Sans calculer le destin Le temps de vie est restreint (Nique sa mère !) Envoie le festin (Pwah !) Ca c'est notre son (Pwah !) Pour nos garçons (Pwah !) Ca c'est notre son.
(Don Vincenzo)
Voilà la symphonie des blocks, l'hymne de guerre, l'hymne nationale des quartiers de france venus te plaire. V'là l'une des dernieres colonies, avis aux colonels c'est Vince le Colon, la Psyquiatra à bord du sanctuaire. Le chant du ghetto mon pote, la cicatrice de tant de galères, la jambe de bois qui nous lie qu'on soit riches ou pauvres. Mon pote, ce que j'te livre c'est rien d'autre qu'une maladie de joie et de haine, dont j'n'ai pas l'antidote. Tout à l'instinct, Plan d'Aou mon quartier libre, pour nos talentueux talents gachés qui descendent en chute libre, aux mecs des blocks comme moi, teneurs de murs dès l'instant (dès l'instant) où le block opératoire a mal greffé nos destins. J'viens crocheter les serrures, seulement des bunker avec la clef de sol de Mozart peace aux heritiers comme moi. Comme toi j'rêve de mettre fin au cauchemar, mais on se nourrit de trop de drogues douces avant le réel départ.
(Refrain)
(Segnor Alonzo)
Les mots ont du poids, surtout quand on les maitrise pas. J'suis jeune et mon metier c'est d'dire ce qui va pas. Est-ce un metier ou une passion? Ou une obligation de crier, pour pas nous oublier? On fait partie de ceux qu'il faut sauver, notre mental s'écroule, le diable frappe à coups de tractopelle. Y a la santé des mômes en bas des ruines, mais la brigade canine itervient que pour renifler l'heroine. Entend l'espoir dans l'appel, l'économie souterraine fait vivre des familles entières, dans le stress, même ta mère peut être confrontée, ton père le torse au sol six heures du maths le GIPN ? On a du mal ici, les mal-aimés ils nous mettent mal à l'aise, nous jugent malhonnêtes comme Lacoste René. Ca charbonne plus tôt, besoin de fric plus tôt, on fait des enfants plus tôt donc on devient soucieux plus tôt. Mis en quarantaine comme dit Tonyno, ils nous ont mis là, dans le fuego, dans le muermo, c'est qui qui chante? c'est la zone franche. La pitié fait pas manger t'attends pas à nous voir faire la manche, chico.
(Refrain)
(Soprano)
J'viens donner de la force à ceux qu'en manquent, à ceux qui manquent, à ceux qui savent que toutes les richesses ne se trouvent pas dans des banques, à ceux qui plantent un peu d'espoir dans ce champ de coton, à ceux qui savent qu'on peut faire de l'or avec du béton, à ceux qui s'arment à travers des bouquins, à celles qui ont les ailes prises dans les filets du machisme africain, à ceux qui se font d'la bile, à ceux qui savent que si le block est un cercueuil j'suis le Black Mamba de Kill Bill. Que Dieu m'accorde Sa miséricorde, que j'donne de l'amour à ma horde avant qu'elle la trouve à travers un gode. Au moins pour ceux qui quand j'souris m'entendent pleurer, pour ceux qui passent leur temps à eloigner cette lame de mon poignet. c'est pour eux que j'veux tout niquer, qui sait combien de graines Dieu a laissé dans mon sablier? Pour mes favelas (prêt à boulèguer) Mino, la Swija (prêts... prêts... prêts à boulèguer)
(Refrain x2)
ENFANTS DE LA LUNE (feat Anna Torroja) :
Toujours la même pensée, j'ai hâte d'être à ce soir, de te voir car t'es la seule à qui j'me confie et qui peut me voir, Mon ange gardienne, à qui je fais la bise, qui veille, sur mes conneries qui me font flancher comme la tour de Pise. L'envie de te serrer fort car à la maison c'est le bordel, c'est le cortège des enfants seuls, enfantés comme Corneille. A peine 13 piges, crapotte ma premiere cig' peur de grandir auprès de toi, la mère qui n'a pas de bras. Quiere el amor, el amor de los hermanos, que vive la noche, los locos de eso mondo, adios. Car j'suis jeune et je jetterai pas mon cartable quand je vois que les trois huit pour certains frères ne sont pas rentables. La vie intacte, et j'ai peur de me faire couper, Malgré ton clair de lune, les Pierrots ne sont pas satisfaits Por favor qui soy esta ... Soy el niño de la Luna
(Refrain) (Ana Torroja)
Lune tu veux être mère Tu ne trouves pas l'amour qui exauce ta prière Dis moi lune d'argent Toi qui n'as pas de bras comment bercer l'enfant? Hijo de la Luna...
(Alonzo) J'viens pas travestir la réalité, ni imiter le vivant je veux ressembler à mes morts, à leurs verités. Enfant de la Lune, orphelin quand le soleil se lève, Quand le silence fait trop de bruit nous on s'entend trop gamberger Y a plus d'ainés, ils sont morts à la guerre de la drogue ou en forçant le barrage de la liberté J'ai pas à t'expliquer leur geste ni à laver leur linge sale devant la presse, leurs familles ne l'ont pas fait. Lune, dehors il fait un temps de crève, la routine ne fait pas de grève, comprend que j'ai le ton grave comme la situation de ces nuits, toi qui n'as pas de bras, comment retenir la folie de mes 22 piges? tu sais, entre une transac', le bruit d'un transalp', un joint et des cartes, une discution de chatte, je suis là, la rétine tremblante. Atteindre la quarantaine serait un privilège dans cette ambiance
(Refrain)
(Soprano)
Ce soir j'ai pas la pêche, j'ouvre une bouteille pour accuser le coup, en plus il pleut des cordes un temps à se les foutre au cou. J'suis là, trempé de la casquette aux orteils, à prendre conscience que mon adolescence a pris de la bouteille. J'fais le bilan, 35 ans, pas un franc des freres enterrés ou au bagne, et des fesses assises sur le même banc. J'tremble, car la mort ça tue sans mobile, et qu'faut de la caille pour nourrir ce petit qui me ressemble. J'n'arrive pas a assumer ce que Dieu me donne. J'passe mes nuits dans le lit d'un verre de rhum. J'ai mon trône au milieu des lâches, ma couronne sertie par les larmes que ma famille me lache, car j'suis une loque, j'vis au crochet d'ma femme et d'ses allocs, j'cours derrière cette jeunesse passée dans un block, à attendre que tu vienne me chercher, mais ce soir, ententds, elles viennent me chercher...
(Ana Torroja)
Luna quieres ser madre Y no encuentras querer que ta haga mujer Dime luna de plata Que pretendes hacer con un niño de piel? Hijo de la Luna
(Ana Torroja) Pour tous les enfants de la Luna, Ana et la Psychiatra. Vien pequeño, vien.
DANS LES BRAS DE GABRIEL :
(Alonzo)
Parti avant celle qui m'a fait venir Parti avant celle que j'ai fait venir C'est Kassim, ma mort m'a privé de l'avenir, plus de formules, dans notre circuit les engins n'ont qu'une place, vachement étroite hélas. J'sais pas si vous entendez le texte. J'simule la verité, j'vexe plus que je fais prendre conscience, barbot. Tout comme Di Caprio j'ai dit au revoir du paquebot, et lève l'encre, j'ai pensé aller, mais pas retour, entre les deux extremités y a mes tours, les années, l'amour, la fougue, la pauvreté. Entre ces deux extremités j'avais le temps d'oeuvrer pour mon retour, j'suis un cancre, j'ai négligé le coeur pour nourrir que mon ventre, ça m'pèse lourd, vu que pour toi p'tit je suis un exemple, écoute l'homme qui appelle les mains sur la tempe. (Maman, il est ou papa?) Je suis en voyage le trajet est long, j'sais pas si j'ai pris assez de bagage, mon trajet est long, venez pas pleurer sur mon point de départ, non. Demandez pardon et coupez ce cordon qui lie mon, existence à la votre, mon ésprit qui vous hante, sommeil de plomb j'suis votre klaxon. Filtrer mes emotions c'est mon vivant. Chaque épreuve a son degré d'effort, tu pleures M'man, j'te vois, faut pas.
(Soprano)
Il est souvent trop tard quand on s'rend compte de ce qu'on a plus, et ça j'le sens depuis que Gabriel m'a pris le pouls. On s'prend des jumelles, alors qu'le bonheur est sous nos yeux. J'regrette tant le temps que j'ai passé à être loin de vous. Déjà qu'j'suis de nature solitaire, j'ai mis dans le ventre de mon temps l'rap comme seul ver solitaire, au lieu d'le consacrer a mes freres qui ne cessent de grandir. J'éspère que tout ce que j'ai bâti puisse embellir leur avenir. Nan, m'noyez pas d'vos larmes, elles n'abreuvent aucune tristesse et ne font repousser aucun arbre. La vie file à une telle vitesse qu'elle nous condamne à être des saules pleureurs. Restez des chênes juste pour mon âme. Au moins pour tous ces fans sensationnels, d'ailleur c'est pour eux que dans l'rap j'étais inculpé de crime passionel, mais aussi pour Street Skillz, et tous ceux qui ont essayé d'porter les peines d'un être qui n'a rien d'exceptionnel. Bercez moi avec la mélodie du rire à Maman, que ce moment soit suspendu dans le temps, éternellement. J'parle à vous Sakina, Jamal, Zak et Naima, P'pa, M'man, Je vous aime en m'endormant.
(Don Vincenzo)
J't'en prie prend ma main, avec toi une derniere danse, demain qui sait ou je serai, donc j'ten prie, prend ma main. J'y pense, à cette danse, car toi et moi on vient de loin, C'est flou comme ce mauvais oeil de loin mais qui souvent vient des tiens. Une valse avec toi, pour avoir un oeil sur le monde, sourd et muet comme le regard de la Joconde. J'ai vu des larmes qui coulent, et nottament des balles qui tombent, J'ai vu des mecs cool, et à la fois le sourire de leur ombre, leur âme s'envole, et leurs silouhettes deviennent sombres. Et j'pense à ce jour ou on va rompre, Cette fois il me semble que j'suis pris pour cible, tout le monde veut sa part, donc l'être humain finit par ne plus etre sensible, et toi sincère, quand tu m'disais qu'on etait juste des pions, affamés devant un bout de pain, et qu'on allait se quitter a la fin. A la fois j'dois etre digne, comme la foi dans ce Din, Salaam aux pères et frères dont leur âme se perdent au ce cimetierre, aux frères et autres Muslim, que Dieu vous garde avant que le retentissement de la fin vous bombarde, moi il est temps que j'y aille, donc j'vous tire ma révérence, j'me taille vers l'Au-Delà, et les corbeaux m'présentent leurs condoléances... | |
| | | lil raph Journaliste lyrical
Nombre de messages : 98 Age : 31 Date d'inscription : 25/07/2006
| Sujet: Re: PSY 4 : ENFANTS DE LA LUNE Mer 30 Aoû - 0:28 | |
| leur texte son très riche.big up a tout les mc's de psy 4 de la rime. | |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: PSY 4 : ENFANTS DE LA LUNE | |
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| | | | PSY 4 : ENFANTS DE LA LUNE | |
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